Lundi 13 avril, Hangzhou


Les chauffeurs de taxi de Hangzhou inspirent toutes sortes d'émotions. Souvent de l'énervement. Qui peut confiner a la crise de nerf quand l attente dépasse 30 puis 40 minutes la main en l'air, comme un mouchoir qui s'agite dans le vent sans effet. Les voitures passent, rouges ou vertes mais pas une ne s'arrête. Puis il faut arriver a se faire comprendre, répéter et répéter le même mot, parfois même batailler pour qu'ils acceptent de remonter au temEt c'etait des biscuits aux poireaux, sinon c'est pas rigolo.
ple "Mais c'est ferme maintenant !". Et puis la, celui-ci m'a offert des biscuits, m'a demande d'ou je venais, pourquoi... C'était un petit condense de Chine ce taxi, têtu, direct, sympa et curieux. 

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