Mardi 29 septembre, Usine de Gupai


Ma Chine est faite d’insouciance. De passants, de chiens, d’enfants, de grands-pères en scooters ou d’amoureux en vélo, de terrasses ou je peux trainer en regardant passer les gens. Nicolas voit et vit une autre Chine. Celles des délais, des machines, des bus fébriles d’une usine a l’autre, des cigarettes échangées comme poignée de mains, des ouvriers nonchalants, des patrons surbookés, les cantines, les retards, les excuses, la mauvaise foi ou l’incompréhension, les assemblages dans les odeurs de colle, les soudures sans masques, la fébrilité, encore, toujours.

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My China is carefree : I stroll through everyday street scenes, oberving people passing by, dogs, grandfathers on scooters, lovers on bicyles. Nicolas' sees and works in a different China, one of delivery dates, machinery, crowded buses going from one factory to another, cigarettes exchanged like handshakes, nonchalant workers, overbooked bosses, factory cafeterias, delays not respected, excuses, insincerity or misunderstanding, smelly assembling halls, soddering without protective shields...  febrility and agitation - always.


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