Mardi 5 avril, Fuyang



Elle fait de la gravure. Elle est sérieuse, ne leve jamais les yeux. Ses doigts dessinent des lignes délicates à coups de marteau. La lumiere aussi est délicate, lèche les pinceaux, les couleurs, les plaques, les coupes. Elle lèche même les torchons. Je me rêve à sa place au milieu d’un atelier. Le même avec trois fleurs, deux chats et un peu de folk. Ce serait le mien celui-là…






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